ADISQ.

Ce cher Dumais est encore sur une piste intéressante: faire se parler les gens de l’adisq et les nerds que nous sommes. Peut-être comprendrons-nous que nous avons beaucoup en commun? Peut-être comprendront-ils que l’Internet a été conçu dans l’idée de contourner les obstacles? Peut-être comprendront-ils qu’investir de l’énergie « contre » l’Internet et ses utilisateurs, c’est un gaspillage? Peut-être comprendrons-nous qu’ensemble, en suivant le « flow », on peut faire plus et mieux avec la même énergie? Ne pas se battre contre le changement, mais trouver moyen de le tourner à son avantage…

Si cette rencontre a lieu, j’aimerais bien voir des chiffres (baisses des ventes de disques, évolution des prix, part de profit de chacun des palliers), entendre parler des gens de chez Vidéotron (le pourcentage de trafic lié aux différents services d’Internet, le profil des utilisateurs), mieux comprendre la structure de l’industrie, combien le gouvernement investi à chaque année dans la création et la diffusion artistique, voir les impacts réels… Fantasmes: je veux qu’un historien vienne nous raconter comment l’industrie a accueilli l’arrivée de la radio, de la télévision et de la cassette audio!

L’avantage (parfois malsain) d’un « petit milieu » comme l’industrie québécoise est probablement aussi sa plus grande force dans ce genre de problématique. Peut-être sommes-nous capable ensemble de trouver une nouvelle approche?

Une réflexion sur « ADISQ. »

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