vacances.

Ha! Le début des vacances. Finalement eu le temps de passer à travers toute LA liste. Deux semaines de vacances! Yé!

Pour débuter des vacances, ça prend de la musique et de la lecture. Côté lecture, j’ai du retard. Côté musique, je crois que je viens de trouver, par le plus grand des hasards, quelque chose d’estival: Regina Specktor.

Découvert par hasard comme musique de fond sur l’étrange site de marketing viral de Zune, le iPod killer de Microsoft.

ferland.

Belle soirée de finale du Festival, fidèle à la diversité des genres, Jean-Pierre a fait le travail de clôture magistralement. Entendre que « c’est à 30 ans que les filles sont belles », entourées de filles à l’aube de la trentaine (N., G. (qui n’est pas tombée dans les pommes ce soir), G. et surtout V. (la néo-trentenaire de la soirée)), c’est toujours joli.

Apprentissages de la soirée:

– Jeff, ton interprétation de la loi sur les débarcadères m’a naturellement coûté 52$.

– Le show d’éclairs électriques à 01h30 était tout aussi spectaculaire que les feux d’artifice.

– Le Festival est fini, on aura rien à faire ce soir!

Centre.

Voyage au centre de la terre spectaculaire, tant pour les yeux que les oreilles!

Découvert plusieurs choses ce soir, principalement en comparaison avec la soirée d’avant:

– les passes de presse, ça sert à s’installer dans la section média et non dans la section VIP. La section média, c’est juste au pied de la console de son, ce qui assure une qualité optimale du son. Ça permet aussi d’apprendre que le son de Live était moins bon (pourri?) parce que ce n’était pas un sonorisateur du Festival (habitué à la sonorisation des plaines) tel que ce soir.

– les filles perdent connaissance dans mes bras le vendredi soir, pas le samedi.

– j’aime les feux d’artifice.

attaque.

G., littéralement à la veille de ses 30 ans, nous avait sélectionné des places de choix hier soir pour Karka/Malajube/Louise Attaque. La place de choix, c’est là où la pente débute, question d’être juste une tête au dessus du parterre et d’avoir une splendide vu sur le spectacle (et une ou deux oreilles en moins à la fin), à 40 pieds en avant, plein centre.

Malheureusement manqué Karkwa, voyage d’affaires oblige, apprécié mon initiation à Malajube, bien que la balance de son était déficiente (quoi qu’il semble que c’est normal considérant le chanteur).

Mais le clou de la soirée reste Louise Attaque, que je rêvais de voir au Festival depuis ma découverte il y a huit ans. Parce que Louise Attaque, c’est lié à plein de souvenirs, notamment celle d’un poste d’écoute à la FNAC sur le Boulevard des Italiens à Paris en 1998 (c’était le mundial!) où j’ai probablement passé une heure à écouter le disque au complet. Hier le violon sonnait particulièrement bien, tout comme la voix du chanteur. Un très bon moment du Festival.