Auteur/autrice : cfd

audiogram.

Reçu ce matin la réponse d’Audiogram, la seule réponse que j’ai reçu à mon courriel du 21 mars 2006… 22 jours plus tard. Rien reçu des deux autres correspondants, visiblement, ils ne sont pas très branchés…

Donc, j’attend son autorisation pour publier sa réponse « texto », mais en gros, la chargée de projets, nouveaux médias, dit:

1) On veut bien être sur le iTMS, mais Apple ne retourne pas nos appels, ça ne devrait se faire sous peu: je lui ai refilé l’URL (merci d.)

2) L’édition deluxe c’est « la typographie métallique de couleur bronze en relief », un détail apprécié des collectionneurs: (!).

3) OpenDisc, c’est si on veut, et non, les renseignements personnels, ils ne s’en serviront pas pour le marketing: alors pourquoi les demander? pourquoi s’en donner le droit dans la licence? (je pense que j’aurais été plus appréciatif du truc s’ils m’avaient avouer utiliser les données marketing pour mieux connaître leur clientèle!)

La réponse est bien écrite et bien tournée, mais les questions demeurent…

Reste à être patient…

contradiction.

Il y a une certaine contradiction à vouloir, d’un côté, imposer une certaine standardisation et uniformisation de l’information que l’on dépose sur son portfolio (ça c’est comme un blog, mais sans émotion, je crois) pour en faciliter l’interopérabilité, et de l’autre côté, souhaiter éviter que ce portfolio ne devienne un outil pour un contrôle centralisé de l’information.

(Notes de ma demi-journée à ePortfolio 2006 au Chateau Frontenac.)

grincement.

Chaque mois sera désormais marqué par un mot qui fait grincer des dents. Ce mois-ci est dédié au mot plateforme.

La plateforme, c’est un souk informatique. La solution qui rassure les moins technologiques d’entre nous. Elle doit tout faire la plateforme. Elle doit particulièrement faire des choses qu’on a même pas encore déterminées. On doit l’acheter ou la louer, on doit la choisir avant de savoir ce que l’on veut faire avec. Elle fait plein de choses la plateforme, mais jamais exactement comme on veut les faire.

Pitié, dites moi ce que vous voulez faire on trouvera une solution! Mais surtout pas une plateforme. La plateforme n’est pas une solution. Pas vu beaucoup de plateforme livrer des résultats dans les dernières années.

Les français ont eu la bonne idée de trouver un terme moins menaçant, la plateforme est devenue un socle. Ce n’est pas beaucoup mieux, mais ça rassure tout autant. Ça livre rarement la marchandise.

virtualisation.

Demandé hier, reçu aujourd’hui… Une autre installation de Windows ce soir?

(finalement, ça va se faire en background ce matin…)

Premier commentaire, ça ressemble à Virtual PC comme interface. Quelques petits bugs, mais un bon forum de soutien technique (pour voir un vrai CD, il faut l’insérer avant de lancer le logiciel.)

Deuxième commentaire, faire une installation en background dans un logiciel beta, ça donne un crash assez spectaculaire… et un truc non-fonctionnel, réinstallation de windows à prévoir… ça n’a rien donné…

horreur.

Oui, j’avoue, c’est laid, très laid, très très très mal. Je devrai me confesser.

Ce message est écrit via Explorer, sous Windows, sur un MacBook Pro.

Je l’ai fait, j’ai honte, mais ça fonctionne…

Analyse technique, pour les curieux:
– performance: wow, rien à redire.
– graphique: pleine résolution, très beau.
– réseau: parfaitement fonctionnel et ambiant.
– bug: clavier français fonctionne, mais je n’ai pas trouvé comment faire les alt-car, dont la très utile barre oblique… clavier anglais, retour de la barre oblique, mais impossibilité de faire des accents…
– bug: hum, bouton de droite? avec trackpad?
– pénible: durée d’installation de windows: 40 minutes minimum…
– pénible: windows en général, c’est tellement laid et peu intuitif…

Je leur donne trois mois pour faire la même chose en « virtualisation » ou dans une fenetre du MacOS et ça sera parfait!