Note pour ma prochaine visite à Montréal: Seg!
Auteur/autrice : cfd
lune.
Quand nous sommes sortis de la salle Albert-Rousseau hier soir, on ne voyait pas la lune. J’aurais pourtant souhaité la voir. La face cachée de la lune, version cinéma, décevra peut-être un peu ceux qui ont vu la pièce de théâtre. Le cinéma apporte une réalité différente, tout en gardant toute la saveur et l’humour des textes originaux. Un grand film, un Lepage proche du public et, comme toujours, très proche de la Ville de Québec. Je suis encore sous le charme.
retour.
Pendant que le serveur rendait définitivement l’âme hier (avec une sympatique odeur de pentium brûlé), je me suis amusé à synchroniser mon nouveau jouet avec mon carnet d’adresses et mon iCal (quelqu’un sait comment « purger » les 8000 évènements d’avant 2003? Ça aiderait à la synchro…). Petite merveille de la communication moderne!
soirée.
Tchang Kiang: un incontournable montréalais.
Réservoir: tout à fait tendance.
montréal.
Montréal est encore plus plaisant quand tu y viens en touriste d’affaires. 30e étage d’une tour du centre-ville, vue ensoleillée sur ce même centre-ville. Internet gratuit (mais avec un fil), chambre d’affaires (ce qui signifie en général pseudo-luxes, comme un presse-pantalons électique et un cire-chaussure rotatif), et journal à la porte demain matin. Ce n’est pas le Germain, mais tout de même.
exclusif.
EXCLUSIF: Quand Branchez-vous sombre dans le ridicule.
(On a les exclusivité qu’on mérite!) 😉
OLF.
En ces temps de compression budgétaire, je suis heureux d’apprendre que des fonctionnaires manquent encore de discernement au point de perdre leur temps sur des dossiers like this one.
wild.
Vu Dirty Pretty Things. Prouvant que Stephen Frears n’a pas de style particulier. Ça m’a donné le goût (et je sais pas pourquoi!) de retourner en Angleterre. Et que dire des yeux d’Audrey.
hauteur.
Écouté hier soir, comme tout bon politico-sportif québécois, À hauteur d’homme. Fasciné par le point de vue, charmé par l’action de coulisses. C’est une « sport extrême », j’en conviens, où même ceux qui rapportent l’information deviennent presque malgré eux des adversaires. Fascinant!
Et que dire de l’émission qui a suivi, où Hubert Bolduc (qui avait malheureusement troqué le noeud papillon pour une cravate) défendait son ex-patron calmement, où Luc Lavoie se donnait allègrement au paternalisme et au spin (y allant même d’une comparaison inutile avec Star Académie) et Jean-Claude Labreque savourait sa réussite.
Quelqu’un sait qu’est-ce qu’il fait maintenant ce Hubert?
dégustation.
Noblesse du Temps 1999, Jurançon (60,75 $ – 919274 – à venir très bientôt) : pédoncule de petit manseng tordu début novembre et laissé sur pied jusqu’au 10 décembre, sans botrytis. 18 mois d’élevage en fûts neufs. Définition chromatique et aromatique époustouflante avec liqueur fine brillant sous la poigne d’une acidité qui relance des saveurs grasses de mirabelle en confiture, de thé à l’orange et de fruits secs. Harmonie parfaite. TGV (*****, 3). (Le Devoir)