bamako.

Ca va? Ouais. Deux en deux. Méchante soirée, encore une fois marqué par le rythme. Malien cette fois. Oui, Amadou et Mariam viennent du Mali (on aurait pu penser que c’était de la Côte-d’Ivoire, ils auraient été des ivoiriens! (subtil (?) jeu de mots ici!), ils ont le groove dans le sang et savent comment mettre le feu à la foule. Vraiment. Ça donne le goût d’une expédition africaine!

Demain? Twisted Sisters, Scorpions ou Pierre Lapointe?

(LA chose à ne pas manquer: la funambuliste Catherine Léger à 23h30 au Carré D’Youville)

lire.

58% of the US adult population never reads another book after high school.
42% of college graduates never read another book.
80% of US families did not buy or read a book last year.
70% of US adults have not been in a bookstore in the last five years.
57% of new books are not read to completion.

(source, via Marginal Revolution, via Kottke.)

bauchklang.

Encore une fois conquis, j’y étais y’a quatre ans au Périscope, belle montée d’ambiance devant une foule en feu. Bauchklang, c’est « sound from the belly », cinq instruments humains en parfaite harmonie rythmique. Impressionnant et emballant, juste de la voix (et du souffle!): Rhythm of time.

Avoir été plus énergique, je serais resté pour la suite…

(Commentaire: le journalisme citoyen, c’est de descendre dans le parterre, pas de profiter à l’excès de la terrasse VIP! 😛 )

montreal.

Résumé de la journée de mercredi:
– déjeuner aux croissants français (merci Érick!)
– quasi-signature de contrat (manquer de batterie lors de l’impression d’un contrat = moche, avoir laissé son adaptateur à Québec = double-moche!)
– diner chez les portugais (miam. fallait être équitable.)
– foot chez les russes (le Laïka c’est russe ça?) avec Sylvain.
– migration vers St-Denis / Rachel (infernal).
– on y a croisé Matthieu et Antoine (qui est revenu d’Austin juste à temps pour le YULblog)
– oublier l’heure (15h00) du parking = 42$.
– apéro & souper.
– puis YULblog, en résumé:
Beau temps, plus configuration de l’endroit, plus fonds de festivité footbalesque, égal bonne humeur et plein plein de gens qu’il fait vraiment plaisir de voir et revoir, même si on suit leur vie pratiquement au quotidien.

J’ai dénoncé, comme tout le monde, la belle famille de Martine et l’absence d’Alex, mais le groupie que je suis était heureux de croiser quelques vedettes personnelles qui s’ignorent (dont La Petite elle même, Véro.B (que j’ai savamment ignoré toute la soirée), M-C and Chris (tried to take the credit (last comment), once again, for their relation, didn’t get any recognition, sniff…), ph (on s’ennuie!), Martine (qui ne sort pas assez souvent), Michel, Éric, Max, Carl, Christian, Patrick, l’étrange Sébastien
(qui a un blog supposément ici tete://sebastien), et une tonne d’autres…

Retour à Québec avec deux petites pauses « power nap » sur le chemin.

tourisme.

Plusieurs approches touristiques inspirantes (et amusantes) pour vos vacances, dont:

NEOTOURISME: Courir les lieux du monde qui se vantent d’être nouveaux : Terre Neuve, la Nouvelle Zeelande, New-York, Neudorf…

UXORITOURISME: Se dit du voyage effectué par un couple lorsque c’est l’épouse qui en prend l’initiative et en règle tous les détails.

(via Clément qui garde les choses amusantes pour mon blogue et les sérieuses pour le sien!)

change.

Tiens Ph peste contre les chèques, ça me donne le goût de parler d’argent!

En tant qu’économiste on nous a appris qu’un système économique était « efficace » lorsque les coûts de transaction tendaient vers zéro. Les coûts de transaction sont habituellement de trois formes: le coût de trouver le bien/service à se procurer (magasinage, qualité, quantité, etc.), le coût d’encadrer la transaction (confiance, réglements, contrats, ententes, etc.) et le coût transactionnel lui même (l’échange lui même, contre un autre bien/service ou contre de l’argent).

L’argent (sonnant!) permet de diminuer le coût d’une transaction en jouant le rôle d’objet d’échange universel. Mais pourquoi donc ne travaillent-on pas à simplifier encore plus ce que ça coûte de « payer »? L’expérience de paiement la plus simple que je connaisse depuis quelques années, c’est le SpeedPass. Voilà que les américains se lancent dans la carte de crédit RFID, bien différente de la carte à puce des français.

Où en sommes-nous au Canada pour la mise en place d’un tel système? Pourquoi la Monnaie royale canadienne ne se transformerait pas en organisme émetteur d’un outil de paiement universel électronique? (j’ai rien contre les initiatives privées, mais il me semble qu’une gestion indépendante et universelle serait plus à l’avantage de tout le monde.) Quelle énergie perdons-nous à rouler notre monnaie, à compter le profit des distributrices, etc.?

Même débat pour les chèques et les transferts de fonds (pourquoi n’adoptons nous pas le IBAN comme les européens?).

Je n’ai pas une confiance aveugle dans l’électronique, mais je ne crois pas qu’aucun moyen électronique ne soient moins sécuritaires ou plus coûteux que l’actuel système de chèque, monnaie et carte de crédit.

Je suis un chaud partisan du « un seul compte de banque, un seul moyen de paiement », si un jour ça devient possible.

compresseur.

La maison avec compresseur intégrée est une nécessité. Deux pneus regonflés en moins 20 secondes. Reste à voir si ça tiendra jusqu’à demain matin. (Je suis un pro!)

Demain, je me lance dans la plomberie… Le robinet de la cuisine ayant rendu l’âme ce matin. Officiellement, c’est la fin de semaine des fuites.