business.

Le « jeune entrepreneur » (!) et surtout l’économiste en moi a toujours été fasciné par l’organisation industrielle. Une grande partie du plaisir (et du stress!) c’est de vivre tout ça sur le terrain, au quotidien, à un niveau confortable et surtout de façon très pragmatique.

Donc, semaine de planification, plan d’affaires, analyse et réflexion, juste avant de prendre des résolutions pour 2005.

Pendant que j’y suis, je suis à Montréal, mardi et mercredi, y’a encore des cases libres dans l’horaire!

voisin.

Paul, c’est le voisin, on le connaissait pas encore, mais la tempête ça rapproche les gens. Donc, nous avons maintenant toutes les raisons du monde de jalouser son 4 roues, parce que sans lui, je serais encore dans le milieu de ma côte, entre la maison et le chemin.

N., qui était catégoriquement contre l’idée du 4 roues, essaye maintenant de me convaincre que c’est une nécessité de premier ordre. Yé!

neige.

Moi qui pensait qu’il y en avait beaucoup la semaine dernière! Au moins ça fait prendre l’air le samedi matin!

Et ça ne peut qu’améliorer les conditions de ski, déjà très bonnes hier soir pour notre première sortie à la montagne voisine!

montréal.

Le lancement de disque était cool, l’expédition montréalaise fut sympatique, la Casa est toujours la Casa, et comme le monde est petit, même à Montréal, on a fini la soirée à jaser de thermostats. C’est tendance les thermostats. Mais j’avoue que c’est étrange d’avoir des amis qui plus nerds de thermostats que d’informatique… (Parce que Sébastien est tout sauf nerd d’informatique, qu’on se le dise!)

chemin.

Ma très chère mère a toujours utilisé l’expression « aller porter les vidanges au chemin » pour qualifier l’action de sortir les vidanges. Ça m’a toujours semblé étrange parce que, pour la plus grande partie de ma vie, l’acte de veiller à la disposition des ordures ménagères se limitait à les déposer le long d’une rue très urbaine du quartier Montcalm, ou mieux encore, à faire quatre pas bien au chaud, parfois même en pyjama, jusqu’à la chûte à déchets du condo.

Mais ce soir, je suis sous le charme, le rurbain que je suis habite maintenant sur un véritable « chemin » et peut enfin, même dans la tempête, donner tout son sens à l’expression maternelle! Joie!

vrac.

Début de semaine: passer plus de temps à refaire ma liste de choses à faire qu’à faire les choses qu’il y a dessus. C’est très tendance les listes, comme en témoigne mes billets des derniers jours!

Le problème c’est lorsqu’on se sent coupable de procrastination en prenant le temps de faire la liste!

Et pour répondre à Sylvain, ça fait trop longtemps que je n’ai pas été à Ottawa explorer les endroits branchés (mon cerveau a encore de la difficulté à associer Ottawa et endroits branchés, mais j’avoue avoir des souvenirs d’excellentes soirées dans le Market!). D’ailleurs, avec ma nouvelle vie rurbaine, je dois avouer que je songe à laisser mon titre d’urbain branché à Alex qui l’assume de façon superbe (presqu’à m’en rendre jaloux!).