conversation.

Dans la série « les grandes conversations »:

N: problème d’auto…
C: ?
N: j’ai scrapé mon miroir conducteur 🙁
C: 😐
N: r-v jeudi, je vais faire mon changement d’huile en même temps
C: Hum…
C: comment?
C: où?
N: concessionnaire, jeudi, 13h
C: non, le miroir…
C: 😛

camelot.

Personne n’en a parlé, mais c’est pourtant la fin d’une époque… Camelot, la célèbre et pionnière librairie de l’informatique, a récemment fermé son magasin de Sainte-Foy et je constate à l’instant qu’elle est a fermer son magasin de Place Ville-Marie.

Oserais-je me rendre jusqu’au Square Phillips pour constater ce qui reste de l’original?

Site en 3D (pré Québécor!)!

(j’avoue avoir fait un détour obligé par le Square Phillips dans ma jeunesse à chacun de mes passages à Montréal, je me souviens très bien d’y avoir acheté plusieurs livres sur HyperCard… ha! nostalgie!)

Quelqu’un en sait plus?

pauvre.

Pauvre petit Vidéotron qui offre gratuitement sa bande passante aux multinationales de la musique et du cinéma…

« (…)le patron de Vidéotron, Robert Dépatie, a dit souhaiter voir le gouvernement fédéral imposer un tarif de transport aux studios de cinéma et aux maisons de disques, pour qu’ils défraient eux aussi une partie du développement de la bande large. »

Vraiment amusant… Vraiment…

condoms.

Comment utiliser les condoms de façons optimales (traduction libre):

C’est bien connu, il arrive souvent que les programmes d’aides internationaux aident bien plus les compagnies locales que les étrangers. L’Alabama produit des milliards de condoms destinés à l’aide international. Ces condoms coûtent beaucoup plus cher à produire aux États-Unis qu’ailleurs dans le monde. Si l’usine américaine produit 450 millions de condoms annuellement à un coût de 5 cents chacun et si on sait que les condoms peuvent être acheté sur le marché mondial à 2 cents chacun, on pourrait épargner 13,5 million par année. Pour une usine qui emploie 260 travailleurs, on pourrait donc leur offrir un bonus de départ de 51923$ pour une année, tout en conservant le même niveau d’aide international et en augmentant le budget des années subséquentes de 13,5 million de $.

lu.

Hier matin, dans mon petit journal local, j’ai lu Didier Fessou: « Pas mauvais, mais pas son meilleur. Il devrait s’arrêter d’écrire, prendre un peu de recul, réfléchir à ce qu’il veut faire et où il compte aller. » au sujet de LLouis tombe tout seul, de Matthieu Simard.

Hier après-midi, je suis allé acheter le livre.

Puis ce matin, je lis « Les bons mots et les mauvais mots, les commentaires, les appréciations, les dépréciations, les critiques, les bravos et les choux, bien sûr que ça me touche. J’essaie que ça ne paraisse pas, j’essaie même de me convaincre que ce n’est pas important, mais ça l’est. Et c’est dur, autant les beaux que les laids, c’est dur à digérer, parfois, dur à comprendre aussi. »

Matthieu, si tu doutais, ce billet est un condensé de talent du premier au dernier mot. Belle façon de remettre les pendules à l’heure. 🙂

mea culpa.

Mea culpa, de n’avoir jamais vu Fred Pellerin en spectacle avant hier soir.

Mea culpa, de n’avoir jamais été à l’Anglicane avant hier soir.

Pas mea culpa de n’être jamais allé à l’Intimiste avant hier soir.

(Je vous recommande chaudement les deux premiers. Pour le restaurant, il doit bien y avoir quelque chose de mieux que ça à Lévis, ou sommes-nous simplement tombé sur le soir du riz pateux et du saumon trop cuit! J’attend vos recommandations pour la prochaine fois.)