réveil.

Quand on est à l’école, qu’on a douze ans, y’a des rumeurs et des ragots partout, sur tout le monde et sur les professeurs. En vieillissant, on finit par se convaincre que ces ragots n’était peut-être le fruit d’une imagination trop prolifique de jeunes adolescents. Puis ce matin, la radio et le journal parle de mon professeur d’enseignement religieux du secondaire, et je me dis que l’album des finissants n’avait peut-être pas tord de se préoccuper des « p’tits crapeaux de l’abbé Noreau ». (Ceci dit sans remettre en cause la présomption d’innocence (corrigé!)).

2 réflexions sur « réveil. »

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