De la peur du billet blanc.

J’ai l’étrange impression qu’à une autre époque, alors que les facebook et twitter n’existaient pas, et que tout le monde n’avait pas un blogue moribond, il était plus facile de dire des choses intelligentes sur ce blogue. Drôle de sentiment que d’avoir peur d’écrire, parce qu’on a l’étrange impression d’avoir tout lu et tout entendu, et qu’on serait un peu épais d’être le 28e à dire la même affaire. Pourtant, comme l’a dit ma conscience (ça c’est Véro), tout ce que je lis mériterait d’être partager et mis en contexte par rapport à ma vision des choses. Depuis des semaines, y’a plein de choses qui restent dans ma tête et ne finissent pas par s’écrire ici. Pourtant, c’est pas complexe. Ça porte sur des réflexions variées: du monde techno, de certaines frustrations versus les réseaux sociaux en temps de crise, de la productivité et de la qualité de vie, et les 30 trucs pour 30 jours à Berlin aussi.

Une fois cette peur avouée, peut-être est-ce plus facile d’écrire ici. De toute façon, y’a peu de gens qui lisent. 🙂

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