Je déteste les gens qui font du sensationnalisme en mettant en vedette des erreurs dans wikipedia. Éditez donc au lieu de dénoncer, c’est facile, et c’est là pour ça.
Du repos en paix…
Reposez en paix, Monsieur Playmobil. Et merci!
De la nostalgie…
Je ne sais pas si c’est parce que j’ai le même âge que lui, mais j’ai très hâte au nouveau film de Ricardo Trogi (pardon Tro(d)gi).
Moi, ça me rend nostalgique:
– le changement d’école.
– Le ballon rouge de ballon chasseur.
– Le fait de savoir écrire en lettres attachées.
– Le bras dans le plâtre.
– Le catalogue fétiche de Distribution aux consommateurs (dont on ne peut nier l’influence encore aujourd’hui!)
– Le cruisage par proximité du coude.
– Xanadu (mais ça c’est la faute de ma soeur, Olivia est associée pour toujours à la Gaspésie pour moi!).
De la croissance tranquille…
La semaine dernière, lors de cette table ronde sur le commerce électronique, Stéphane Gauvin m’a présenté avec une (trop) longue biographie où je m’étais amusé à inclure le terme «croissance tranquille» pour décrire le plan d’affaires d’iXmédia, point qu’il a souligné comme un concept intéressant (il n’a pas osé dire «curieux»!).
Je suis persévérant dans ce concept, il m’a toujours bien servi. Il m’amuse par les réactions qu’il provoque. Les tentatives de profiter d’opportunités de croissances rapides furent, pour moi, décevantes et coûteuses. Donc, on construit par petit pas, une brique à la fois, autour d’un noyau solide, se fiant à notre instinct, notre intelligence et notre entourage.
Ça donne une croissance moins «excitante» aux yeux de certains, parfois même associée à un manque d’ambition. Pourtant ça donne surtout des obsessions différentes pour la solidité flexible, l’instinct réfléchi et la rationalité émotive. Tous des concepts encore plus contradictoires et surprenants, mais O combien appréciables en affaires. Parce que dans «le monde des affaires» (whatever that is!), tout est noir et blanc en même temps. Sinon, ça serait trop simple.
Heureux de voir que des sages reconnaissent maintenant la croissance tranquille comme un modèle pour notre nouvelle (?!) réalité économique. 🙂
Du mouvement…
J’aime bien quand les trucs de gens de talent se retrouvent sur d’autres blogues de gens de talent, encore plus quand c’est amusant et accompagné de musique de d’autres gens de talent!
Du choc des cultures numériques…
One member of the White House new-media team came to work on Tuesday, right after the swearing-in ceremony, only to discover that it was impossible to know which programs could be updated, or even which computers could be used for which purposes. The team members, accustomed to working on Macintoshes, found computers outfitted with six-year-old versions of Microsoft software. Laptops were scarce, assigned to only a few people in the West Wing. The team was left struggling to put closed captions on online videos.
De la valeur des entreprises…
Souvent, comme entrepreneur, pour toute sorte de raisons, on tente d’évaluer la valeur de nos entreprises. Tout bon économiste vous dira que la valeur est largement liée aux avoirs, à la rentabilité future et au risque que cette rentabilité se concrétise.
Lors de transactions, de financement ou simplement d’évaluations, on tente donc de mettre un prix sur la valeur des contrats, des clients, du portfolio, de la marque, de la propriété intellectuelle, des équipements, des ressources humaines, et de plein d’autres choses plutôt virtuelles. C’est toujours un exercice périlleux, car, naturellement, la valeur est toujours définie en fonction de l’offre et de la demande. Ce qui a de la valeur pour le propriétaire n’en a pas nécessairement pour l’acheteur. J’ai toujours trouvé cela fascinant. Et ce qui a de la valeur pour l’acheteur n’en aura peut-être plus sans le propriétaire actuel.
J’ai souvent pensé que ce problème de valeur marquait plus la vie des PME que des grandes entreprises, mais les cas d’Apple (qui sans Steve perd la moitié de sa valeur perçue) et de Nortel (qui a acquis à fort prix plein d’entreprises qui ont perdu toute valeur une fois intégrée) prouvent le contraire. C’est tout aussi fascinant.
Preuve, peut-être, que les entreprises sont toujours aussi faibles que leur maillon le plus fort.
Du voyage de janvier…
En vrac:
– Voyager avec son iPhone, ça fait des miracles: pour se retrouver avec le GPS (parce que le mien fonctionne!) et Google Maps (pour trouver des restaurants, connaître la circulation, trouver quel autobus prendre, etc.), mais aussi avec wikipanion pour régler les débats existentiels, le web pour suivre ses bagages perdus, et google pour y vérifier l’état du vol suivant à la seconde de notre arrivée (et apprendre qu’il y aura un délais de 3 heures…).
– Le « data » en voyage ça coûte (un peu) moins cher qu’avant, mais quand même très cher. L’Internet dans les hôtels de qualité ça coûte cher (quoi que l’hôtel lui-même n’était pas cher, merci hotwire.com!)
– Le 3G fonctionne tout croche sur le réseau d’AT&T, à ce titre Fido et Rogers font des miracles ici.
– Le MacWorld était ordinaire, mais l’ambiance était très positive. Le keynote toujours aussi excitant, bien que décevant, beau moment avec Tony Bennett quand même!
– On aime Napa Valley.
– On aime San Francisco, sa lumière, son ambiance.
– On sent tout de même le ralentissement, magasins plus tranquilles, beaucoup de commerces vides au centre-ville.
– On sent les grandes attentes envers Obama, ils en parlent partout.
– J’aurais aimé voir Milk au Castro, mais comme je l’avais vu à Québec, je me suis contenté de Slumdog Millionaire (que je vous recommande fortement!)
Ça recharge tout ça. Surtout qu’on a des beaux plans pour 2009.
Du MacWorld…
Amusons nous, comme à chaque année à faire des prédictions plus ou moins farfelues, parce que tout le monde en fait…
1) Mac mini / Apple TV / Time Capsule, ne sont qu’un même nouveau produit: serveur réseau, hub numérique, router sans fil. Mini DisplayPort (pour un écran) et Mini HDMI (pour la télévision). MagSafe. DVD en option. Pas de Bluray.
2) iLife / iWork: pas complètement web, mais avec beaucoup de lien avec MobileMe et le iPhone (partage de document, etc.)
3) iMac: nouveaux processeurs, rien d’excitant.
4) Cinema Display 20 pouces et 30 pouces.
5) Steve Jobs n’est pas malade, il joint le cabinet d’Obama. Al Gore devient président du Conseil d’administration, Phil Schiller le CEO.
De ce blogue en 2009…
D’abord un nouveau gabarit (qu’il reste à traduire un peu). Puis, je l’espère, de plus en plus de choses intéressantes. Et des nouveaux projets. Zen et focus.