(merci Greg pour la couverture du Where 2.0)
D’une autre demande étrange…
Tout sur le commerce du jus d’orange. Ça se négocie en baril de 15000 livres, actuellement ça se vend 158,50$ US pour novembre 2007.
D’une demande étrange…
Dixit N.: « Je sais pas, c’est écrit de le mettre qque part sur internet. Mets-le dans tes liens! 😉 »
Du défi de la recherche…
y’a des samedi soir comme ça, où le défi est plus grand qu’habituellement: recherche photo du père de Minifée.
Je vous laisse faire le travail, ça semble difficile… (Merci!)
De l’ouverture des données…
En explorant le superbe Waka.ca ce matin, je me demandais bien qui était derrière ça… La seule chose que je peux leur reprocher c’est de ne pas exposer l’entreprise elle même, ça donnerait encore plus de crédibilité à ce site dangereusement efficace. Samuel Bouchard, Jean-Sébastien Bouchard (un autre!), Wendy Careau (analyste marketing).
Mais ma question est plus philosophique. Pourquoi les gens qui possèdent ces contenus à la base ne sont ils que trop rarement capable d’avoir une vision aussi pratique et efficace. Comment peut-on laisser les gens qui ont cette vision s’amuser avec les données et innover? Il y a tellement de sites sur Internet que je referais (bon ok, pas moi personnellement) en quelques heures (bon ok, jours ou semaines parfois) juste en ayant accès aux données. Vous me direz d’aller voir ces entreprises et de leur offrir mes services? C’est pas faute d’avoir déjà essayé, mais rarement sont ils en mesure de comprendre (ce qui n’est pas un défaut, ils ont leurs contextes et leurs préoccupations qu’il faut respecter).
Les gens de Waka pourraient sans aucun doute offrir des versions plus évoluées de leur site à la Chambre Immobilière, ou même devenir la banque de la SIA, je connais des courtiers qui seraient heureux.
Peut-être pourrions nous convaincre les clients qu’en plus de créer leur site web, ils devraient autoriser d’autres personnes à utiliser leur base de données pour y créer des interfaces plus intéressantes hors du site principal. (Tiens, je crois que je vais tenter le coup avec un festival…)
De la guerre de flamme…
J’imagine qu’il faut avoir quelques années d’expérience dans les communautés virtuelles pour relativiser l’importance du drame terrrrrrrrible qui se joue présentement dans la blogosphère sur l’utilisation du YUL. Whhhoooo… Calmez vous. Relativisez. Allez relire Rheingold, plus ça change plus c’est pareil.
Mais si plus ça change, plus c’est pareil, ça veut également dire que la constante dans tout ça c’est qu’il y a des humains derrières tout ce qu’on lit et derrière tout ce qu’y s’écrit (merci Patrick de l’avoir écrit avant moi!). Le drame il est là . Et ça donne lieu à des attitudes impardonnables. Un peu de civisme, de respect et d’empathie n’ont jamais fait de tord à personne, un peu d’ouverture non plus. C’est beau le virtuel, mais ça pardonne encore moins le manque de finesse et de vernis que la réalité (quoi que!).
(l’utilisation du terme « drame terrrrrrible » c’est pour introduire une touche d’ironie (question de dédramatiser un peu ou d’insister sur l’énorrrrrme problème que l’utilisation du YUL constitue), rire de l’accent montréalais (provoquer un débat Montréal versus les régions, incluant l’ADQ et la trash radio) et axer mon intervention sur l’émotivité du drame (émotivité qui s’explique naturellement par le cycle menstruel féminin, ce qui me permettrait peut-être d’inclure ici une mention sur le Diva Cup). Je voulais juste être clair.)
Causes of flaming (according to Wikipedia via Wired):
There is no general agreement on the causes of flaming, although a recent study has led to somewhat conclusive evidence. Some common hypotheses are:
1. Egocentrism causes us to think we know a writer’s tone 90% of the time, although we only are correct about 56% of the time. This leads us to misinterpretation of the writer’s intended meaning, causing flame wars.
2. The lack of body language and voice inflection make it difficult to show emotions in a nuanced way, and the relative anonymity means that it is felt less dangerous to use heated language.
3. In forums and chats, there is usually no other way to express your opinion than by writing. Not writing can be interpreted as « giving up ». And opinions and ideas stated a long time ago can be forgotten, causing a need to repeat them. According to this view, a good system for Computer Supported Argument Visualisation (CSAV) might help to clarify the issues without repetition. Sometimes, however, there is a disagreement on so fundamental criteria, that it is not even possible to agree on a structure of the issues and arguments.
4. It is reasonable to consider that some forms of flaming can be attributed to deeper social or psychological weaknesses, probably from lack of exposure to a broader spectrum of disciplines that result in self-control issues.
Des problèmes de routages?
Où est-ce qu’on peut se garder au courant des problèmes de routage des grands fournisseurs de services Internet? Genre pourquoi est-ce qu’aujourd’hui Flickr n’entre pas partout?
Du Québec Urbain nouveau…
Lorsque nous étions jeunes, Clément et moi avions encouragé Francis à utiliser le blogue pour partager une passion commune pour la Ville de Québec et son développement urbain. Tranquillement Québec Urbain est devenu une source unique d’information, de potins et d’intérêts pour les projets qui animent la ville. Sa fréquentation me surprend toujours. Son indexation aussi.
Avec un peu de temps, une bonne équipe (Francis, Joé, Isabelle et Rémi) on a fait un petit ménage de printemps à Québec Urbain. Rien de complexe, juste un peu de modernité.
De la musique nouvelle importée…
Via le cousin (mais surtout via la belle-cousine): Paris Dernière 5. Joie!